Vendredi 23 Mai 2014
Lever, petit-déj, ça y est Loul@ a enfin trouvé sa boisson du matin ! (oui, tout de-même après une tasse de café…): le thé au jasmin; trop bon pour bien commencer la journée !
Après nous être demandé où nous n'avions pas encore été aux alentours de l'hôtel nous nous décidons à visiter le côté opposé au port.
Disons que de l'hôtel si nous prenons à gauche et continuons toujours tout droit, nous parvenons au port, et donc si à l'opposé nous tournons à droite et continuons tout droit nous parvenons à la plage. Grosso-modo 20 minutes de marche…Et oui, nous sommes sur une île !
Nous suivons le front de mer, longeons les rangées de transats avec leurs touristes en position de crêpes…La mer, elle, est quasiment vide de touristes…La plage est recouverte de galets, l'eau est translucide, mais, bon, pas de baignade de prévue pour nous (because bras cassé!!!)…
Le front de mer de ce côté de l'île est un peu moins populeux et l'on y trouve donc pas mal de restos fermés, de petits hôtels, d'habitats délaissés…pas vraiment de quoi fouetter un chien!
Alors, on marche…on repart par les rues vers l'intérieur de la ville, vers la zone touristique, jusqu'à nous retrouver juste derrière le casino de Rhodes. Là, non, on n'y pénètre pas…mais par contre on se place face à celui-ci à déguster notre café frappé du matin.
Loul@ en profite pour sa part pour se faire expliquer en détails la recette de la préparation de ce fameux breuvage..
On repart vers le centre-ville, vers la vie animée, vers l'hôtel.
Déjeuner "fait maison" avec deux missions décidées durant celui-là:
- se dénicher le fameux appareil broyeur, mélangeur, mixer à café frappé, et
- vérifier les bus pour une ultime balade vers des vestiges. On a nos adresses…et on pénètre donc dans une quincaillerie où nous sommes déjà passés pour vérifier de l'acquisition d'une résistance à placer dans un verre afin d'y chauffer son eau, et…pas d'appareil à café frappé..Le comble pour cette île où les consommateurs ne manquent pas ! Par contre le vendeur nous explique où nous pourrons très certainement trouver cet appareil; plutôt sympa le gars !
On profite de la proximité de la gare centrale des bus pour nous renseigner pour notre destination et…10 euros par personne pour visiter d'autres ruines…on laisse donc tomber l'idée: trop cher pour quelques kms effectués en bus !
On repart donc dans l'autre direction vers les rues principales adjacentes à l'hôtel vers notre caverne d'Ali Baba…Une caverne, oui , car en sous-sol après avoir descendu quelques bonnes marches et "apprécier" un sous-sol sans air conditionné…Le lieu se nomme "Kastagnas" et c'est un genre de foirfouille où l'on trouve de tout pour la maison mais également pour les hôtels et restaurants, et…notre machine tant convoitée ! On va pouvoir se préparer notre café frappé à la maison !..
Après-midi repos, sudoku, tablette avec tout de-même la récréation café frappé d'obligation…pris au bar de l'hôtel (pas le meilleur que l'on ait bu...).
Douche, repas, et proximité oblige on se dit que la vieille ville "by night" doit être super avec tous ses édifices , murailles, portes et monuments.
Donc, tout est effectivement là, quant aux éclairages, spots…de mise en valeur, quasi inexistants. La vieille ville de Rhodes la nuit, aucun intérêt et c'est dommage !
Par contre à notre habitude on découvre des ruelles où nous ne sommes pas encore passés, des petites places, des habitations pittoresques loin du flot des touristes: ça on aime !
Finalement une pause-glaces s'impose et nous nous retrouvons sur la place centrale entourée de restos et de coopteurs de clients (vraiment pas notre soupe à nous !..); on se prend notre glace (avec du vrai chocolat noir pour Loul@...), et on reste assis à jouer les badauds, à regarder les touristes, à voir les techniques des coopteurs plus que zélés, à se faire nos propres réflexions sur tel couple, sur telle tenue ou chaussures…
Bon, ça n'est pas tout de jouer les voyeurs et nous retournons donc à l'hôtel; il est 22 heures passées, le lit nous attend et la 5e chaîne française de la télé est désormais inexistante…
Qu'à cela ne tienne ! On éteint et à demain !